Coverage

John Lennon Wall

By 11 décembre 2016 Aucun commentaire

Ce qui est le plus frustrant dans ce job de couvreur c’est qu’on est toujours publié au premier jet. Et en parlant de ça, j’ai voulu améliorer et approfondir mon post sur le Darling (parce que je ne commence à m’auto-satisfaire qu’au 2ème voire 3ème jet noramalement). Mais non, ça suffit pour les gourmandises.
Bon relisez-le quand-même, c’est le post dont on m’a le plus parlé depuis très longtemps: https://t.co/I0JWT67wC4

On continue donc la visite de Prague avec le John Lennon Wall. Alors non, il n’y a aucun rapport entre Lennon et Prague mais puisqu’il est là, admirons-le. Le génie du monsieur vaut largement que l’on passe un moment à penser à lui.

Et après mon histoire du clown, c’est avec cette petite anecdote à suivre qu’on va encore se foutre de ma candeur :
Fan depuis toujours des Beatles et plus particulièrement de John Lennon, j’ai toujours su (enfin je croyais savoir) comment s’était passé son assassinat.

En 1980, le Britannique John Lennon a 40 ans et habite à New York avec sa femme Yoko Ono (qui n’a aucun rapport avec Yakelelo, comme le croit Capucine Anav). Mark Chapman, 25 ans, drogué, dépressif, suicidaire, chômeur et alcoolique rêve d’assassiner l’ex-Beatles.
Le 8 décembre en fin d’après-midi, Lennon et Yoko sortent de leur immeuble pour rejoindre leur limousine. En chemin, ils rencontrent quelques fans et leur signent alors des autographes, rien d’inhabituel jusqu’ici. Mais parmi ces fans se trouve Chapman. Lennon lui dédicace une pochette d’album et insiste même en lui demandant : « c’est tout ce que tu voulais ? » car Chapman avait le regard inquiétant d’un psychopathe et ne lui avait pas dit le moindre mot.
Plus de cinq heures plus tard, Lennon et Yoko reviennent d’une séance d’enregistrement en studio et Chapman est toujours planté en bas de leur immeuble. En descendant de voiture, Chapman appelle « Mister Lennon ! » qui se retourne et le psychopathe lui tire quatre balles dessus.
John Lennon est mort le 8 décembre 1980 à l’âge de 40 ans.

Il y a environ deux ans, je regarde « Un jour, un destin » sur France 2 consacré à John Lennon. Arrivé au moment de son assassinat en fin de reportage, je découvre en fait que les tirs de Chapman ne l’ont pas tué sur le coup. Entre la vie et la mort, Lennon est emmené d’urgence à l’hôpital. Et là, cette scène durent tout de même quelques minutes dans le reportage. C’est bien assez de temps pour que ma tête cogite car ultra passionnée par ce documentaire. Et c’est à ce moment-là que mon innocence juvénile m’a fait défaut :

Je me suis surpris à dire à voix haute : « Mais putain c’est pas possible ?! Accroche-toi !!! Merde mais c’est vraiment trop con !!! Tu vas t’en sortir !!! » et John Lennon est en fait déclaré mort quinte minutes exactement après les coups de feu, en chemin pour l’hôpital.

Alors les Jimi Hendrix, Jim Morrison, Janis Joplin, Brian Jones puis après Jeff Buckley ou encore Kurt Cobain, j’en suis très triste aussi mais c’est eux qui l’ont un peu cherché. Par contre pour Bob Marley et John Lennon… qu’est-ce que leur décès est injuste !
Allez, vivement l’Unibet Open Jamaïque à Kingston pour que je vous raconte comment on a perdu Bob Marley !
Ou mieux encore : un Unibet DSO Graceland pour vous dire ce que faisait très exactement Elvis Presley au moment très précis où il s’est éteint. (Bon ok, un indice s’inscrit en bas de votre écran : c’est la 2ème meilleure main de départ au poker…!)

c57a8254

c57a8114-3

c57a8195

c57a8252

c57a8235

c57a8180

c57a8167

c57a8137

c57a8125

c57a8102

c57a8089

c57a8119

c57a8109

c57a8264

Répondre